Résumé :
Dans un monde de plus en plus inquiétant, Harry se prépare à retrouver Ron et Hermione. Bientôt, ce sera la rentrée à Poudlard, avec les autres étudiants de sixième année. Mais pourquoi Dumbledore vient-il en personne chercher Harry chez les Dursley ? Dans quels extraordinaires voyages au cœur de la mémoire va-t-il l'entraîner ?
Mon Avis :
On sent dans ce sixième et avant dernier tome toute l'attention accordée aux détails. La chasse aux Horcruxes commence et est plus riche en précision que ce dont je me rappelais. Dumbledore donne plus d'informations, de cartes si on peut les appeler ainsi, à Harry pour cette mission si cruciale, ce poids si lourd qui pèse sur ses jeunes épaules.
Ici, à nouveau, l'âge des personnages passe assez inaperçu. Globalement, l'atmosphère de Poudlard pourrait se voir comme celle d'un collège peuplé d'adolescent ou comme une université accueillant de jeunes adultes plus matures. L'auteur ne marque pas spécialement l'âge de ses personnages ni dans leurs réactions ni dans leur maturité. Leurs comportements sont interprétés en fonction de l'âge du lecteur dans une certaine mesure. J'ai parfois du mal à me dire que les protagonistes ont 15 ou 16 ans alors que cela ne m'avait pas choqué précédemment, il n'y a pas grand-chose qui le rappelle et c'est un avantage parce que personnellement, allant bientôt fêter mes 21 ans, plonger dans les niaiseries de jeunes adolescents n'est plus pour me satisfaire.
Un peu différent de la manipulation mentale et de la grande remise en question de Harry du tome précédent qui était plus psychologique, ce sixième tome est tout aussi sombre. Et la plupart des pièces du puzzle finale sont déjà positionnées pour tracer le schéma définitif. C'est vraiment étonnant comme certains détails prennent soudain tout leur sens à la lumière d'une vision globale.
On s'attarde sur une nouvelle facette de la personnalité de Drago Malefoy, qui doit en avoir fait craquer plus d'une avec son côté mauvais garçon et le physique avantageux de l'acteur de l'adaptation cinématographique. On le sent douter, pris au dépourvu et animé d'une détermination voire d'un acharnement que seule la peur pour sa vie et celle de ses propres a pu susciter. En fait, on sait assez peu de choses sur ce personnage qui m'intrigue assez avouons-le. J'aimerais savoir ce qui se cache derrière cette blondeur et cette arrogance.
Même si nombre de détails sont donnés sur l'ensemble des personnages, j'ai parfois le regret de ne pas pouvoir en savoir encore plus pour satisfaire cet élan de curiosité insatiable que génère toujours la lecture ou la vision des films de cette saga culte.
Oh, que de blabla sur pas grand-chose en définitive. Concentration...
Ce qui est assez intéressant dans ce roman, c'est le regard que l'auteur porte sur le passé de Voldemort et plus précisément sur ce jeune orphelin nommé Tom Elvis Jedusor. « Connais ton ennemi » est pleinement appliqué ici, quoi de mieux pour trouver ses faiblesses que d'analyser son passé, son parcours, ses aspirations.
Harry est un personnage admirable. Il est plein de chose à la fois, mais, par-dessus tout, l'incarnation d'un héros. Ce qui ne fait que renforcer l'admiration qu'on lui porte, c'est sa modestie à toute épreuve. C'est ce qui fait que malgré ses exploits, il reste humain (sorcier entendons-nous) et accessible pour nous pauvres lecteurs.
Un roman qui m'a à nouveau charmée comme à chaque fois et même fait verser quelques larmes pour cet illustre sorcier dont la perte ne cessera jamais de m'affliger.
Note : 18/20
Ici, à nouveau, l'âge des personnages passe assez inaperçu. Globalement, l'atmosphère de Poudlard pourrait se voir comme celle d'un collège peuplé d'adolescent ou comme une université accueillant de jeunes adultes plus matures. L'auteur ne marque pas spécialement l'âge de ses personnages ni dans leurs réactions ni dans leur maturité. Leurs comportements sont interprétés en fonction de l'âge du lecteur dans une certaine mesure. J'ai parfois du mal à me dire que les protagonistes ont 15 ou 16 ans alors que cela ne m'avait pas choqué précédemment, il n'y a pas grand-chose qui le rappelle et c'est un avantage parce que personnellement, allant bientôt fêter mes 21 ans, plonger dans les niaiseries de jeunes adolescents n'est plus pour me satisfaire.
Un peu différent de la manipulation mentale et de la grande remise en question de Harry du tome précédent qui était plus psychologique, ce sixième tome est tout aussi sombre. Et la plupart des pièces du puzzle finale sont déjà positionnées pour tracer le schéma définitif. C'est vraiment étonnant comme certains détails prennent soudain tout leur sens à la lumière d'une vision globale.
On s'attarde sur une nouvelle facette de la personnalité de Drago Malefoy, qui doit en avoir fait craquer plus d'une avec son côté mauvais garçon et le physique avantageux de l'acteur de l'adaptation cinématographique. On le sent douter, pris au dépourvu et animé d'une détermination voire d'un acharnement que seule la peur pour sa vie et celle de ses propres a pu susciter. En fait, on sait assez peu de choses sur ce personnage qui m'intrigue assez avouons-le. J'aimerais savoir ce qui se cache derrière cette blondeur et cette arrogance.
Même si nombre de détails sont donnés sur l'ensemble des personnages, j'ai parfois le regret de ne pas pouvoir en savoir encore plus pour satisfaire cet élan de curiosité insatiable que génère toujours la lecture ou la vision des films de cette saga culte.
Oh, que de blabla sur pas grand-chose en définitive. Concentration...
Ce qui est assez intéressant dans ce roman, c'est le regard que l'auteur porte sur le passé de Voldemort et plus précisément sur ce jeune orphelin nommé Tom Elvis Jedusor. « Connais ton ennemi » est pleinement appliqué ici, quoi de mieux pour trouver ses faiblesses que d'analyser son passé, son parcours, ses aspirations.
Harry est un personnage admirable. Il est plein de chose à la fois, mais, par-dessus tout, l'incarnation d'un héros. Ce qui ne fait que renforcer l'admiration qu'on lui porte, c'est sa modestie à toute épreuve. C'est ce qui fait que malgré ses exploits, il reste humain (sorcier entendons-nous) et accessible pour nous pauvres lecteurs.
Un roman qui m'a à nouveau charmée comme à chaque fois et même fait verser quelques larmes pour cet illustre sorcier dont la perte ne cessera jamais de m'affliger.
Note : 18/20