Résumé :
Marc Levy, roi du best-seller depuis Et si c'était vrai..., est de retour avec Sept jours pour une éternité! San Francisco aujourd'hui. Lucas est le genre beau brun ténébreux un peu vénéneux sur les bords; Zofia est une belle plante ingénue à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession. À qui s'en remettre pour que ces deux-là se rencontrent ? Au destin, forcément, qui s'en charge aux alentours de la quarantième page. Tous deux sont envoyés du ciel : Lucas est le délégué sur terre du diable, ici nommé le Président, et Zofia l'émissaire de Monsieur, c'est-à-dire Dieu en personne. Lucas et Zofia vont jouer sur le plan singulier la partie que le diable et Dieu jouent à l'échelle universelle. Le diable a plus d'un tour dans son sac et Dieu sait tout, par définition. Le seul impondérable c'est ce fichu Destin qui pousse page après page Lucas dans les bras de Zofia et fait croître entre eux un attachement très spécifique aux humains : l'amour.
Mon avis :
J'avoue que de prime abord, lorsque j'ai compris que les héros étaient un ange et un démon, je me suis demandé si je ne m'étais pas trompé de rayon à la bibliothèque, si je n'avais pas choisi un roman pour enfants. Et puis je me suis dis que ce devait être ça qu'on appelle un roman de gare ; un truc facile à lire, un peu mièvre.
Finalement quand je l'ai eu terminé, j'ai repensé à une phrase que Marc Levy fait dire à un de ses personnages ; quelque chose du genre :
« Il n'y a que dans les mauvais roman d'amour que les histoire finissent bien ; c'est même à cela qu'on les reconnaît »
Et bien ce roman finit bien, il est facile à lire, mièvre, arrosé d'eau de rose. Donc…..
Pensez ce que vous voulez, mais, moi, je l'ai trouvé très agréable, original, d'un style facile, appelant des sentiments nobles, rempli de vérités que Marc Lévy a l'art d'exprimer joliment, sans effet de rhétorique, quelque chose de douçâtre, certes, mais quelque chose qui fait du bien, qui repose, qui apaise ; Bref, quelque chose qui serait presque épatant.
Note :
Finalement quand je l'ai eu terminé, j'ai repensé à une phrase que Marc Levy fait dire à un de ses personnages ; quelque chose du genre :
« Il n'y a que dans les mauvais roman d'amour que les histoire finissent bien ; c'est même à cela qu'on les reconnaît »
Et bien ce roman finit bien, il est facile à lire, mièvre, arrosé d'eau de rose. Donc…..
Pensez ce que vous voulez, mais, moi, je l'ai trouvé très agréable, original, d'un style facile, appelant des sentiments nobles, rempli de vérités que Marc Lévy a l'art d'exprimer joliment, sans effet de rhétorique, quelque chose de douçâtre, certes, mais quelque chose qui fait du bien, qui repose, qui apaise ; Bref, quelque chose qui serait presque épatant.
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